LE MARDI SUR SON 31 : UNE ARDENTE PATIENCE, Antonio Skármeta
"Tu me laisses aller tout de suite à la cuisine me préparer une omelette aux aspirines pour méditer sur ta question, et demain je te donne mon opinion."
Un extrait du dialogue entre Pablo Neruda et Mario Jimenez, facteur de son état, qui voue une profonde admiration au maître, et une sublime adoration à Béatriz.
Au point de lecture où j'en suis arrivée, j'intitulerai ce roman : "L'amour ou l'art de la métaphore", mais ce n'est qu'un clin d'oeil, parce qu'il est bien moins lapidaire que ça, ce texte qui parle de cette belle amitié qui unit le poète et son facteur, avant que l'histoire ne les rattrape.
De ce roman a été adapté un film "Il Postino" dont voici un extrait :
Il semble que Sophie et ses bavardages soient momentanément absents de la blogospère (son dernier billet date de juillet 2012), mais si cela vous dit, je veux bien prendre le relais de ce rendez-vous du mardi que je trouve bien sympatique. Qui prend la route avec moi ?